. L'art à la Taverne de Paris. Chéret, Abel Faivre, Grün, Léandre, Métivet, Steinlen, Willette, artistes peintres. Emile Robert, ferronnier d'art. Jacques Hermant, architecte. Photogravures de Ducourtioux et Huillard, d'après les clichés de Simonet. I Kala l.iandre |)our daimablesdayc dune orjïie avinée; cesl cbrûlai ni île trop déterminé dansplans, tout en donnant lillusioirêve, sont aussi poussés cpie lesres en vedette. Cest la visioisestompe dun cliarme sensuel,lévocation voluptueuse dune intimitécharmante quaucune arrière-i)enséene vient troubler. Parmi ces ^cns quichante

. L'art à la Taverne de Paris. Chéret, Abel Faivre, Grün, Léandre, Métivet, Steinlen, Willette, artistes peintres. Emile Robert, ferronnier d'art. Jacques Hermant, architecte. Photogravures de Ducourtioux et Huillard, d'après les clichés de Simonet. I Kala l.iandre |)our daimablesdayc dune orjïie avinée; cesl cbrûlai ni île trop déterminé dansplans, tout en donnant lillusioirêve, sont aussi poussés cpie lesres en vedette. Cest la visioisestompe dun cliarme sensuel,lévocation voluptueuse dune intimitécharmante quaucune arrière-i)enséene vient troubler. Parmi ces ^cns quichante Stock Photo
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. L'art à la Taverne de Paris. Chéret, Abel Faivre, Grün, Léandre, Métivet, Steinlen, Willette, artistes peintres. Emile Robert, ferronnier d'art. Jacques Hermant, architecte. Photogravures de Ducourtioux et Huillard, d'après les clichés de Simonet. I Kala l.iandre |)our daimablesdayc dune orjïie avinée; cesl cbrûlai ni île trop déterminé dansplans, tout en donnant lillusioirêve, sont aussi poussés cpie lesres en vedette. Cest la visioisestompe dun cliarme sensuel, lévocation voluptueuse dune intimitécharmante quaucune arrière-i)enséene vient troubler. Parmi ces ^cns quichantent ou qui soiqjirent avec la joiede vivre et la joie daimer, aucun sou-rire amer ne vient crisper les lèvres.Lartiste semble avoir oublié sadouble ue. Son bonhein de peindrelui lail néjflijfcr les côtés mescpiinsde la vie. Il est heureux, il exulte. 11nous communique sa félicité. Lheurede lÅuvre belle est venue, il laccom-plit sans effort avec toute la fougue eltout le plaisir de sa nature loyale etsereine. Auguste lui-même, cetteiucarualion pittores([ue et pitoyal)le(lu désiurilé chez Léandre, Augustedisparait et devient un enfant gracieipourquoi renier ses origines â agace En vérité, je vous le disâ celte Åuvre que la près. : (jui diuie allurele chien familier, il est si facile de prophétiser (a juslenuul ipialiliée de ch I |)arellli urrence)mplera parmi les meilleures de notre tenq)s. A côlé de cette grande toile, deux autres panneaux Le lïa/nii ipiinspire uneMuse de la Butte et le Cher Maître, le peintre en renom ponrciui lArt est devenuun commerce productif, complètent spirituellement la décoration de Léandre. Tableaux trop poussés, ai-je entendu murmurer ! Nest-ce pas léternellefable du renard qui a perdu sa (pieue ? LART A LA TAVERNE DE PARIS ilidispcnsalilc .le rcMciitci- avec le balai ics(|ue (hIili