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. Les oeuvres d'Ovide. ffi bien que lui en, otfeau. Cmx dont ils furem aperçus en lair fe fon--vinrent liEfaque changé de n.hne en un pUn^eon , qni le prefentoif alors par haz^ard À leur vue, FABLE I. ORPHEE ^VI HAISSOlr les femmes, efi cruellement mis enpecesfar les Bacchantes de Thrace, Vn [^rfentefi transformé en rocher, AN DIS quOrphée attiroitles bois , les béces , ôc ^srochers par les charmes defon chant , une troupe à(iBacchantes agitées de fureur, & revêtues de peaux fur Tcftomach , ap-perçûrenc du fommet ^(t montacrne cetincomparable Pocte qui chantoit fes versilir la lyre. Auffi-tôt une dcntiYlics quiavoir ces cheveux épars & flotrans au ^xk.du ventjfe mit à dire tout haut : Voîcicet homme, voila celui qui a tant de mé=>pris pour nous. Et alors elle, lui donnean coup.de fa javeline au vifage ; maiscomme le fer étoit entortillé de^fciiilles , il nj fit quine légère marque fans nulleDleilure. Une autre lui jecta une picne^ui sarrêta quelque temps en lair nar ia A ns. C p. ÔviDixNASôNisMfiT.Lir. XL^ére concentu vi^us vocifque lyrique efl ;jic velutiftipplexpro tamfitrUlilfHs aufis, jinte pedes jacuit, fed enim tenterarU cref» cnntBelUimodufqHe abiit:mfAn4qHe régnât Eryn^ nis, CunUaeiHe teUforent cantu mollit a : fed in- gensCUmor3& infato^Berecynthia tibia cornM, Ty?/jfnnaqtteypUHfuf(juei& Bacchêi ululâtnsObftrepuere jono cithard.tum deni^uefaxaNon ex audit i rubnerHnt fanguine vatis^^c frimumattonitAS etiamnum voce cane misînnumeras voluçres^anguefquey Agmenquefe* rarum >^ <JMj, néides Orphei titulum rapuêre theatrii Inde crnentatit vertuntur in Orphea dextrinEt coétint, ut avesifi quando lucevagantemNo^is avem eernnnt : ftrnftoque utrimquc theatroCen rnatPitink cervus periturns arena^Frada cannmeftivatemque petnnt ; & fronde zirentiConjiciunt thyrfos, nonhéicin munerafaStos^ H<& glebASyilU dereptos arbore ramosyPars torquent f lices nen depnt telafurori ;.?^? .11. II, . I , ^ c Bi^tecytsthta ttbia.. y avoit p